3) La gouvernance démocratique : l’implication des salariés dans la prise de décision ou le capital de l’entreprise (comme dans les Sociétés Coopératives et participatives où les employés détiennent au moins 51% du capital social). Ce principe reste très divers dans ses formes d’application : comités de gouvernance partagée, possibilité de vote…
4) La lucrativité limitée ou la rentabilité mise au service de la finalité sociale : le profit dans l’ESS est perçu comme un moyen, pas une fin. La loi encadre les profits des structures (la majeure partie des excédents est non redistribuable) et impose leur réinjection dans l’entreprise pour le développement de ses projets et non pour de potentiels actionnaires comme c’est souvent le cas dans des entreprises classiques.